Qui sommes-nous ?
La Confédération Française de l'Encadrement CGC est composée de fédérations et de syndicats professionnels. Elle est représentée au niveau de l'entreprise par la section syndicale, conformément à la loi du 27 décembre 1968.
La section syndicale fait partie d'un syndicat professionnel déterminé en fonction de sa branche d'activité (par exemple : la métallurgie, la chimie, la banque...). C'est au syndicat qu'il appartient de rendre effective l'adhésion, de remettre la carte syndicale, d'encaisser la cotisation et d'apporter informations et conseils, sur tous les problèmes de la branche professionnelle.
C'est quoi la CFE-CGC ?
La confédération regroupe :
- 230 syndicats
- 27 fédérations
- 96 unions départementales
- + 10 000 sections syndicales
- 18 unions régionales (Drom Com compris)
- + 200 unions locales
- 150 000 adhérents
- Améliorer la qualité de vie et les conditions de travail (QVCT).
- Redonner du pouvoir d’achat en revalorisant la rémunération du personnel encadrant.
- OEuvrer pour des organisations de travail efficientes, centrées sur l’humain.
- Valoriser et accompagner les parcours professionnels.
- Développer durablement le poids de l’encadrement CFE-CGC dans les entreprises.
- Agir pour une transition vers un monde durable.
- Garantir la pérennité et la solvabilité du système de retraite complémentaire.
- Interroger le rôle de l’État dans le pôle public.
- Contribuer au dialogue social européen et international et à la défense des droits humains sur le lieu de travail.
Quelques grandes dates
l'histoire du syndicalisme et de la cfe-cgc
Le principe de la liberté syndicale ne fut reconnu qu'après la révolution de 1848 et véritablement adopté en France par la loi du 21 mars 1884, dite loi Waldeck- Rousseau.
Dès lors, les syndicats purent se créer librement et se grouper en unions, fédérations, confédérations et, par leur influence grandissante, faire aboutir leurs premières revendications (repos hebdomadaire, limitation de la durée du travail...).
Ce n'est qu'après la deuxième guerre mondiale, par l'ordonnance du 22 février 1945, instituant les comités d'entreprise que la présence des syndicats a été "implicitement entérinée".
Elle le fut officiellement par la loi du 27 décembre 1968 qui crée la section syndicale d'entreprise, augmente la représentation syndicale et définit les fonctions de chacun de ces représentants. Plus récemment, la loi Auroux du 28 octobre 1982, a donné de nouveaux moyens aux syndicats dans l'entreprise.
Et la CFE-CGC dans tout ça ?
C'est au 15 octobre 1944 que remonte l'acte de naissance de notre Confédération. À cette date, des ingénieurs et des cadres qui souhaitaient affirmer la spécificité de leur situation dans le monde des salariés, ont déposé les statuts de la confédération Générale des Cadres.
Aujourd'hui, la CFE-CGC s'adresse aux classes moyennes, tout en gardant sa spécificité qui est d'être la voix des techniciens, agents de maîtrise, forces de vente, cadres, ingénieurs et à ceux qui ont vocation à le devenir - c'est-à-dire, à des salariés dont les fonctions comportent responsabilité, initiative et/ou commandement. Ceci pour les secteurs privé, nationalisé, public et pour la Fonction publique.